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Les francs-tireurs de la pensée
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Les esprits sont souvent envahis par des visions grandioses et des idées si intenses qu'elles illuminent et parfois consument leur auteur. L'esprit humain fonctionne dans un cycle qu'on pourrait qualifier de vertueux ou vicieux, oscillant sans cesse, et où les pensées finissent par se moduler sur elles-mêmes. Au milieu du XIXe siècle, il est clair que nous vivons une époque marquée par des élans cognitifs fragmentés, sans qu'aucun modèle de compréhension unifié puisse conclure sur la nature de la pensée.
Dans un tel contexte, l'œuvre de Jacques le Fataliste s'impose, incarnant l'idée de suivre soit sa fantaisie, en la nommant raison, soit sa raison, qui fréquemment n'est qu'une fantaisie hasardeuse, alternant entre succès et échec. Entraînée dans l'exploration d'une archéologie des figures intellectuelles changeantes du XIXe siècle, cette étude se concentre sur la manière dont la littérature représente une force de corrosion sociale exercée par une pensée atypique ou extraordinaire à l'époque allant du romantisme au Second Empire.
Ce contexte chronologique jette la lumière sur les penseurs libres, les génies incompris et les esprits visionnaires flirtant avec les marges du pathologique, ainsi que les stratégies de détournement littéraire que les auteurs mettent en œuvre avant que l'intelligence ne se transforme en farce grotesque. Agnieszka Kocik, docteure en lettres et maître de conférences à l’Université Jagellonne de Cracovie, explore ces thèmes à travers ses recherches, qui se penchent sur les relations croisées entre la littérature, la philosophie morale et les sciences humaines, à l’époque romantique et post-romantique.
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Les esprits sont souvent envahis par des visions grandioses et des idées si intenses qu'elles illuminent et parfois consument leur auteur. L'esprit humain fonctionne dans un cycle qu'on pourrait qualifier de vertueux ou vicieux, oscillant sans cesse, et où les pensées finissent par se moduler sur elles-mêmes. Au milieu du XIXe siècle, il est clair que nous vivons une époque marquée par des élans cognitifs fragmentés, sans qu'aucun modèle de compréhension unifié puisse conclure sur la nature de la pensée.
Dans un tel contexte, l'œuvre de Jacques le Fataliste s'impose, incarnant l'idée de suivre soit sa fantaisie, en la nommant raison, soit sa raison, qui fréquemment n'est qu'une fantaisie hasardeuse, alternant entre succès et échec. Entraînée dans l'exploration d'une archéologie des figures intellectuelles changeantes du XIXe siècle, cette étude se concentre sur la manière dont la littérature représente une force de corrosion sociale exercée par une pensée atypique ou extraordinaire à l'époque allant du romantisme au Second Empire.
Ce contexte chronologique jette la lumière sur les penseurs libres, les génies incompris et les esprits visionnaires flirtant avec les marges du pathologique, ainsi que les stratégies de détournement littéraire que les auteurs mettent en œuvre avant que l'intelligence ne se transforme en farce grotesque. Agnieszka Kocik, docteure en lettres et maître de conférences à l’Université Jagellonne de Cracovie, explore ces thèmes à travers ses recherches, qui se penchent sur les relations croisées entre la littérature, la philosophie morale et les sciences humaines, à l’époque romantique et post-romantique.
